Plein jour sur le Web Invisible
Inutile de revenir sur la suprématie de Google dans la recherche d’informations, mais pour comprendre l’aspect réducteur de n’utiliser qu’un seul outil de recherche, un chiffre est éloquent : Google localise « seulement » 8 Milliards de pages sur 25 Milliards de pages visibles et sur 730 Milliards de pages invisibles…
Et c'est sur ce dernier point que revient Christophe Asselin (Digimind) avec un White paper sur le Web Invisible pour la veille strategique (cf. communiqué de presse en pdf). Tout y est abordé jusqu’à la méthodologie requise. Rappelons que le "web invisible" désigne la partie du web non accessible aux moteurs de recherche classiques. Il comprend des bases, banques de données et bibliothèques en ligne gratuites ou payantes, des pages protégées par l'auteur (balise meta qui stoppe le robot), des pages générées seulement dynamiquement, lors d'une requête par exemple, des informations non indexables (certaines extensions de fichiers), des informations pas encore indexées (en attente de référencement)
Bref, plus de 500 fois le volume du Web visible. Pour citer Asselin : "le web invisible regorge d'informations
professionnelles de haute qualite, indispensables aux differents metiers de l'entreprise".
Un magnifique e-travail, à e-consulter absolument !